Louer et vendre son appartement à Marseille
L’immobilier à Marseille subit une évolution mitigée en ce début de l’an 2012 avec des orientations peu réjouissantes sur plusieurs pans de l’immobilier : En effet, suivant une augmentation d’un peu moins de 7 % des prix de l’immobilier marseillais, les valeurs immobilières subissent une nouvelle inflexion en ce premier trimestre. Les logements immobiliers les plus touchés sont les logements vétustes, principalement ceux construits antérieurement aux années 1970 qui ont des difficultés aujourd’hui à se vendre. Les acheteurs potentiels prennent de ce fait des logements récents qui sont accessibles aujourd’hui à un prix très attirant compte tenu du marché. Néanmoins, il semble que de façon générale le prix des loyers augmente timidement ( sur Marseille même : quelques location de t3 à Marseille).
Malgré cette embellie pour ce qui est des des tarifs de location, les achats de habitations n’ont pas la même trajectoire : on souligne une baisse d’environ 7% par rapport à l’année dernière. Ceci peut se comprendre notamment par les freins mises en place par les organismes de crédit du moment ou il est nécessaire d’ approuver un crédit, surtout aux primo-accédants. Devant cette chute par rapport à la demande, les professionnels et les agences immobilières à Marseille sont contraintes de descendre les prix. Les ventes de logements à Marseille : On remarque néanmoins quelques éléments de satisfaction : ainsi, un nombre de quartiers de Marseille sont fortement plus attractifs que d’autres. Cela se vérifie en ce qui concerne les IVie et Vie arrondissements.
Favorablement fournis en infrastructures et doté d’une bonne desserte, ils sont également réputé pour être des lieux protégé des incivilités (retrouvez votre panel d’annonces de location T2 Marseille). En ce qui concerne les maisons, le nombre de biens disponibles est largement plus importante en dehors de la cité phocéenne que dans le centre-ville, alors que les annonces attrayantes sont localisées au sein du XIe et au XIIe. De même les vieilles maisons des années 50 localisées à l’intérieur du VIIe et VIIIe arrondissement sont susceptibles s’acheter à des tarifs intéressants
